Psychothérapie humaniste

Psychothérapie : Changer nos perceptions et comportements 


Faire l'expérience de ses propres sensations, de penser ses propres pensées, de ressentir ses propres sentiments, par opposition à ce que d'autres croient que l'on doit penser ou ressentir

Notre conscience de nous-même est construite à partir des histoires qui ont été racontées sur nous, soit par nous-même, soit par d’autres aux dires desquels nous avons ajouté foi 
Alan Parry « Pourquoi nous racontons-nous des histoires ? La construction narrative de la réalité » AAT, vol 25, N° 100 – Constructivisme

Pourquoi nous laissons nous définir, cerner, classer ? La réponse est complexe. Je retiens ce qui est familier pour nombre de mes clients : l'inconnu, l'incertitude sont hors de la zone de confort. Ne pas savoir, ne pas connaître installe la peur de manière plus ou moins forte. Pourtant, c'est bien la rencontre de la différence et de l'incertitude qui a favorisé la créativité d'Albert Einstein. Peut être a-t-il su dompter la peur de l'inconnu grâce à un environnement bienveillant. (il avait, dit-on de la dyslexie)


"Pharmacopée", non exhaustive, des formes et des mots que nous utilisons pour décrire nos maux, qui sont autant de parties de nous en des-accord :
Addictions, drogues, Angoisses, Anxiété, troubles alimentaires : Anorexie,Boulimie, Burn-out, manque de confiance en soi, Concentration, Dépression, Deuil, Phobies, Stress au travail, absence de relations, mé-Communication, Troubles de la sexualité, Abus, difficultés relationnelles, troubles du comportement, dyslexie, autisme, dyspraxie, TDHA

A tous ces maux, l'on peut ajouter d'autres manières de nommer des troubles, source d'aliénation comme le dit Claude Steiner :
« l’aliénation est l’essence de toutes les conditions psychiatriques… ; tout diagnostic établi selon le mode psychiatrique constitue une aliénation, à moins qu’il ne s’agisse clairement de troubles organiques »,

Voir le billet : EPIGENETIQUE : une dynamique de transformation


Psychothérapie humaniste


Suivre la personne et entrer en relation avec elle en fonction de l’instant présent est au centre de tout travail thérapeutique, oubliant un corpus théorique qui peut devenir rigide et enfermant. Le savoir-faire du psychothérapeute (ou du coach) consiste en sa capacité à tolérer l'incertitude et contenir "l'angoisse existentielle" qui l'accompagne chez soi comme chez l'autre.

L'accompagnement que je propose consiste à libérer les énergies bloquées, développer la conscience de notre histoire, de nos histoires et de nos fonctionnements. En individuel ou en groupe, La psychothérapie crée un espace de transformation : un chemin vers nos ressources internes et notre puissance, dans l'amour et la bienveillance.

Considérer la personne dans sa globalité a une incidence fondamentale dans l’appréhension de l’être. Cette vision des choses, qui envisage l’organisme dans son unité corps et esprit, indissociable, élimine aussi la dichotomie des attitudes jugées bonnes ou mauvaises puisqu’elles participent au même mouvement d’adaptation et ne se déterminent différemment qu’en fonction de l’expérience vécue et du regard que l’on y pose. Carl Rogers


 

Guy Corneau, psychanalyste jungien, auteur et conférencier, ayant eu un cancer nous dit comment il a dépassé la maladie. Il partage tout ce qu'il a mis en oeuvre pour "revivre" (médecine traditionnelle, énergétique et démarche psychologique)

Théorie, Relation : un processus dynamique


De la théorie à la pratique et de la pratique à la théorie dans un processus dynamique entre le client et le thérapeute. Ci-après, des référents qui accompagnent ma pratique